Waverly Mansell

Date d'inscription : 09/09/2020

Mansell, Waverly Josephine Langford

Infos générales
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Nom : Mansell, Waverly
Autre(s) identité(s) : Loviatar
Age : 23 ans
Origines : Famille anglaise établie aux États-Unis depuis plusieurs générations
Métier/études : N'a pas fini son secondaire. Impliquée dans le crime organisé avec sa famille durant son adolescence. En prison de 17 à 20 ans, où elle en a profité pour tisser son propre réseau. Femme d'affaires et représentante d'un organisme de soutien pour ex-détenus depuis sa sortie. En secret: trafiquante d'armes et impliquée dans le crime organisé.

Signalement : Femme blonde athlétique de 23 ans à la peau claire, de taille moyenne, yeux bleus.

Mes capacités

Entraînement : Je m'entraîne régulièrement, depuis l'adolescence. Non seulement je veux rester en forme, mais j'ai une passion pour les armes et le combat. Depuis que je suis cyborg, je suis obsédée par les capacités que je me découvre et je cherche à les développer. Je maîtrise le tir avec des armes à feu de différents types et le combat au corps à corps. Je suis menue, mais puissante et rapide. Mes mouvements sont maîtrisés et brutaux. Avec mon armure, je me bats avec assurance. Ma mutation est nouvelle, mais je travaille à la contrôler avec une équipe de scientifiques surdoués et passionnés.

Connaissances : Formation au crime dès mon jeune âge. Je ne manque pas de solutions ni de contacts dans ce domaine. Je sais profiter des systèmes en place pour les finances: frauder, voler, blanchir de l'argent... Je connais et comprends les armes à feu, les armes technologiques et plusieurs sports de combat. J'apprends sur les sujets qui peuvent directement servir mes buts, donc je me suis penchée ces dernières années sur la réinsertion sociale des ex-détenus, la maladie mentale et la pauvreté.

Pouvoir(s) :
Pouvoir principal, technologique:
Cyborg contrôlant des nanorobots. Ils s'assemblent sous ma peau pour protéger mes organes vitaux et favoriser la guérison. Ils me protègent des attaques purement biologiques (dégradation physique accélérée, maladies, poisons, hypnose passant par un contrôle cérébral).

Les nanorobots peuvent aussi être assemblés par-dessus ma peau pour former une armure de guerre, qui est beaucoup plus solide et sophistiquée. Et cool. L'armure de guerre peut me sauver de l'effondrement d'un building et d'une petite explosion. Elle se reforme rapidement si on la tranche, mais on peut l'abîmer avec beaucoup de force et un matériau solide. Elle est toutefois difficile à perforer: les balles d'armes automatiques rebondissent dessus et elle résiste au feu plusieurs minutes. Avec mon casque, je respire un air finement filtré.

L'armure me permet une force surhumaine pour frapper et soulever des charges. Je peux tirer des balles par tous les côtés de l'armure, mais je vise vraiment mieux avec la main droite.

Si l'armure de guerre n'est pas entièrement assemblée, je ne suis à l'abri que des atteintes à mes organes vitaux, donc on peut me faire très mal: arracher un bras, faire fondre ma peau ou encore me tirer dans les jambes. Mais c'est déconseillé, parce que ça me mettra de mauvaise humeur.

Les nanorobots me permettent aussi de bien amusants bonus: vision infrarouge, vision nocturne, régénération surhumaine et patins à roulettes sur demande.

Mutation:
J'ai récemment développé une mutation: dégager sur une dizaines de mètres un gaz imperceptible qui contamine les autres par contact avec la peau pour affecter le cerveau à la manière d'une maladie dégénérative rapide. Plus qu'un poison, c'est un virus que j'apprends à contrôler peu à peu. Les effets vont de la confusion au passage à un état de violence instinctive du ou des sujets envers les autres gens, sauf envers moi. Les effets ne sont pas permanents. Ils disparaissent peu à peu si j'arrête d'utiliser le pouvoir ou si je diminue les effets en agissant sur le gaz. Évidemment, si votre peau est protégée (tissu épais, armure, etc.), vous n'êtes pas touché, et je ne peux pas lancer ce pouvoir en portant mon armure de guerre.

Recensement : Mon pouvoir n'est connu que de quelques proches en qui j'ai confiance, incluant ma soeur et ses amis scientifiques.

Ce que je suis

Paraît que j'ai une attitude agressive. C'est marrant parce que c'est toujours les pleurnichards inexplicablement en situation de pouvoir qui me sortent ce genre de commentaires. Je trouve que je suis plutôt douce et patiente parce que je ne tue jamais les journalistes stupides qui m'insultent en ondes.

J'ai peu d'amis, mais ça ne me dérange pas vraiment. Ok, ça me fait un peu chier. Mais beaucoup de gens ne peuvent juste pas me suivre. Je bouge beaucoup, j'ai plein de projets simultanés. Ah et je ne sais pas taire mes commentaires quand je vois un truc à améliorer. Ça vexe les gens. Comme je ne perds pas de temps à m'excuser quand j'ai raison, on m'en veut souvent. J'ai aussi tendance à en remettre pour écraser ceux qui me font chier.

Je suis officiellement motivée par l'amélioration de notre société pour que chacun ait la chance d'y trouver une place gratifiante. Mais dans les faits, je me sers de ces belles idées pour oeuvrer dans l'ombre à mon succès personnel. Le système est pourri et on ne le guérira jamais. Des siècles de révolutions n'ont changé que les apparences et des détails. J'ai grandi en marge de la bonne société, tout en apprenant à profiter de ses failles. Je ne suis pas attachée à des idéaux pour rendre le monde meilleur, j'essaie juste de le rendre un peu mieux pour moi.

Histoire

-Que pensez-vous de la nouvelle vague de mutations?

Je replace une mèche de cheveux derrière mon oreille. J'ai l'habitude qu'on essaie de me piéger avec des questions pour lesquelles aucune réponse ne sera satisfaisante. La journaliste s'attend à ce que je défende les mutants ou les coule ou, mieux, que je tente un compromis qu'elle pourra tordre à sa guise.

-Elle me paraît très réelle, dis-je sur un ton faussement innocent.

C'est toi, la conne; pas moi.

-Euh… oui… bafouille-t-elle en tournant quelques pages dans son calepin, l'air vaguement paniqué.

Elle ne sait plus comment me coincer si je joue la naïve à ce point. Je bats des cils, visiblement vide de tout avis tranché sur les mutants. Je ne suis bien sûr pas neutre, mais les mutants ne sont pas ma cause. Ajouter ma voix à celles qui s'expriment déjà en leur faveur ne fera pas une grande différence pour eux, mais détourner l'attention de ce que je dois représenter publiquement menacera à la fois tout mon empire et ma capacité d'action réelle.

Chaque entrevue, chaque apparition publique et chaque main serrée mène à un peu plus de pouvoir. Je me le répète continuellement pour me retenir de cracher, crier et tirer à l'arme automatique sur les débiles qui pensent pouvoir me dominer pour leur petit plaisir personnel. Mon rôle de jeune fille repentante et pleine de bonnes intentions m'offre des avantages qui valent le désagrément de me priver de faire payer ceux qui pensent avoir le droit de se moquer de moi. Enfin, je me retiens sur le coup, mais certaines attitudes valent une vengeance assez refroidie pour passer inaperçue. Surtout venant de la pauvre jeune fille entraînée dans le crime malgré sa bonne volonté.

J'ai été libérée il y a un peu plus de trois ans, grâce à un bon avocat et à beaucoup de chantage. Le procès de ma famille a été assez médiatisé, notamment à cause des accusations portées contre moi alors que j'étais encore mineure. J'ai été jugée comme une adulte et condamnée à vingt ans de prison après avoir été liée aux activités criminelles de mes parents, incluant plusieurs meurtres. À ma sortie, on m'a offert une fausse identité et l'opportunité de commencer une nouvelle vie au Canada, probablement pour m'éloigner de mes parents et de mes possibles anciens contacts dans le crime organisé. J'ai fait semblant de prendre cette option au sérieux, avant d'avancer que je voulais sauver ma relation avec ma sœur. Leora n'a pas été accusée et n'est jamais apparue au procès. Officiellement, elle ne savait rien des activités de notre famille. En réalité, en apprenant l'absence de preuves contre elle, mes parents lui ont ordonné de jouer l'innocente. Grâce à ses mensonges et au soutien invisible de plusieurs réseaux criminels, Leora est sortie blanche comme neige de cette histoire. Sa réputation a été un excellent tremplin pour lancer le nouveau chapitre de ma vie.

En quelques mois, je me suis fait connaître par des actions bénévoles de grande envergure, financées par Leora. Puis, j'ai commencé à parler publiquement des difficultés à bien se réintégrer à la société quand on sort de prison. Mes boucles blondes et mes battements de cils calculés ont fait autant de travail que mes discours. Les gens veulent croire que les jolies jeunes filles ont de bonnes intentions. J'ai gagné en popularité en coulant mes parents si cruels et violents. Il n'y avait de toute manière plus d'espoir pour blanchir leur réputation et, d'un point de vue plus mafieux, je les ai aidés en rappelant au monde leur dangerosité. D'ailleurs, quand ils se sont évadés de prison lors de l'apparition des nouvelles mutations, j'ai tenu des monologues touchants dans plusieurs émissions pour leur demander de se rendre ou, au minimum, de ne pas recommencer à faire souffrir les gens. Je me montre déçue mais résignée devant leur silence, et le public sympathise avec Leora et moi qui sommes tristement abandonnées.

L'entrevue avec la journaliste insupportable s'éternise sur différentes inepties dont je me fiche, jusqu'à ce que je saisisse une occasion de ramener le sujet sur mon organisme : Better After. J'ai fondé cette association, financée à la fois par le gouvernement et par de généreux donateurs, pour encadrer et favoriser la réinsertion sociale des ex-détenus de New York. Nous leur trouvons du travail et un appartement, les outillons pour former un cercle social solide et leur offrons des sessions de thérapie de groupe pour bien cibler ce qui les a attirés vers le crime et quels buts positifs poursuivre.

Une voiture passe me prendre à la sortie du studio. En chemin vers le laboratoire privé de Leora, j'envoie des messages à des collaborateurs et je retire mes boucles d'oreilles pour les mettre dans mon sac à main d'un designer émergent, un ex-détenu qui a trouvé une passion plus acceptable que le vol de banque.

Une fois passés les multiples systèmes de sécurité, je retrouve ma paranoïaque préférée. Nous nous voyons plusieurs fois par semaine pour affaires, pour discuter et pour actualiser et inspecter mes nanorobots. Leora est une cyborg depuis plusieurs années. Avec ses amis scientifiques, elle a modifié son corps pendant que j'étais en prison. À ma sortie, je n'ai rien eu à lui demander. Elle m'a offert de me changer en un truc bizarre dangereux en sachant que j'allais m'enthousiasmer pour ses folies.

-T'as vu?

Elle me désigne une figurine de hibou vraiment moche, déposée sur un bureau rempli de dizaines de feuilles de notes en désordre et d'autres objets décoratifs colorés. Je souris.

-Encore un cadeau des vieux? Ça faisait pas déjà deux ce mois-ci?

Nos parents nous envoient des trucs stupides qui rappellent notre enfance. Leora reçoit des hibous et je me tape les peluches de tigres. Nous ne savons pas où ils sont exactement – nous misons sur la Belgique parce que ma mère avait des contacts là-bas –, mais ils nous font savoir qu'ils vont bien. C'est mignon, mais je ne m'inquiète pas pour eux. On ne finit pas à la tête d'un des plus grands réseaux criminels de New York sans savoir se débrouiller. S'ils ont été attrapés et condamnés, ce n'est pas par incompétence. Des amis ont trahi notre famille. Ils se sont faits arrêter et nous ont coulés avec eux. Ça me fâcherait s'ils ne s'étaient pas tous faits tuer en prison.

J'ai grandi sans mutation ni talent hors de l'ordinaire, mais j'avais l'entreprise familiale pour m'occuper. Plus qu'un don pour me battre, c'est l'obsession pour les armes et pour l'adrénaline qui ont fait de moi une combattante respectée et crainte dès mon adolescence. Quand je suis sortie de prison, j'ai été accueillie avec respect et enthousiasme dans le milieu du crime. Better After reçoit bien sûr beaucoup de dons d'autres malfaiteurs. Mon organisme est une excellente source de gens qui n'ont pas peur de jouer du mauvais côté de la loi, et mes principaux alliés en profitent. Je me garde bien sûr les cas les plus intéressants.

-Tu viens à l'arène avec Alicia et moi ce soir finalement? dis-je à Leora une fois les vérifications de routine faites.

-T'en as pas marre d'essayer de te faire tuer?

-Je suis invincible, tu le sais.

Je ris, et elle aussi.

-Je te hais. Bien sûr que je viens!

Je vais me battre à l'arène de temps en temps, ça me détend. J'y croise beaucoup de contacts du milieu du crime, surtout comme spectateurs. Leora vient parfois voir mes combats ou ceux d'autres gens pour qui elle fabrique des trucs. Alicia, ma meilleure amie et presque sœur, ne se bat pas, mais elle vient m'encourager à défoncer d'autres gens. Nous nous entendons toujours bien quand il est question de justifier la violence.

Je n'ai pas encore testé nouvelle mutation à l'arène. Elle est apparue subitement. Je me sentais différente sans arriver à comprendre pourquoi. Puis, je suis sortie et j'ai vu le bordel dehors. Quand le public a été mis au courant des événements, j'étais déjà au labo à être testée. Ma sœur s'est entourée de scientifiques passionnés de domaines complémentaires au sien, et nous leur faisons confiance. Ils ont découvert que je peux dégager un gaz toxique qui pénètre par la peau, sur dix mètres, qui affecte le cerveau à la manière d'une maladie dégénérative unique et rapide. Je suis ma propre arme chimique! Nous faisons des tests sur des mourants kidnappés dans des hôpitaux – c'est pas des meurtres s'ils allaient déjà mourir – pour que j'améliore mon contrôle sur mes nouvelles capacités.

J'ai appris à vivre sans mutation, mais toujours avec une certaine curiosité pour les mutants. Je garde mes nouvelles capacités secrètes sauf pour mes proches, mais je suis prête à me battre pour les conserver. Dans l'ombre, je nuis activement à ceux qui s'affichent contre les mutants et contre la nouvelle vague de mutations.

HJ

Nom : Ouais faut encore que je trouve ça
Ce que vous aimez : D&D, le karaoke avec beaucoup d'alcool et collectionner des trucs immatures
Votre héros ou anti-héros préféré : J'ai une affection particulière pour Loki.
Comment avez-vous découvert ce forum : Ce n'était pas tellement une découverte.

(c) Never Utopia

Date d'inscription : 06/09/2020

Enfin une copine avec qui faire des soirées cocktails-armes à feu ! I love you

Date d'inscription : 09/09/2020

Je ne pourrais rêver d'un meilleur accueil qu'une soirée cocktails-armes à feu! Merci!

Waverly Mansell Tumblr_pt2fs5U2O81yoeyyko1_1280

Date d'inscription : 17/09/2020

Enfin une copine avec qui échanger sur la vie en prison ! sunny

Je blague. Par contre, si t'as besoin d'aide pour casser le système, c'est toujours avec plaisir.

Waverly Mansell Original

Date d'inscription : 09/09/2020

Toujours partante pour casser le système avec d'autres ex-détenus!

Waverly Mansell 8f29cabcea8ed8d9bb07497c4d421b47783703c9